Je suis sur les starting block, c’est important pour moi de commencer vite car lorsque je pense trop ça implose à l’intérieur !
As-tu une astuce pour arrêter ce petit vélo qui tourne et tourne et tourne, comme si j’étais sur un manège ou dans une toupie ?
Image pour tenter de vous faire comprendre mes traversées intellectuelles et de l’esprit.
L’esprit. Parlons de l’esprit de noël, de ce moment de l’année où une lumière surgit dans la nuit.
En quelle nuit sommes-nous, -nous êtres humains ?
Ne parle t-on pas de nuit de l’âme…
Je ressens fortement la morosité ambiante sociétale, et j’ai de la compassion pour celles et ceux qui perdent l’espérance. Pour moi l’espérance est de l’ordre du divin, l’espoir de l’ordre de l’humain.
Comment se positionner pour croire, au delà de tous les signes de dé-croyance ?
Dans le mot croyance on entend le mot croix… Décroiser, se décroiser, pour quoi et pour aller vers où ?
Il y a tant de directions différentes divergentes, comment réussir à se croiser sans se défier, et aller vers d’autres croisements et d’autres directions bénéfiques…
On parle beaucoup de bénéfices-risques en entreprise, et dans le monde de la santé, mais c’est quoi bénéficier ? C’est bénir ? Et c’est quoi risquer, se risquer à quoi, prendre un risque pour quoi ou pour qui ? Oui j’avoue que je suis en pleine réflexion sur ces sujets, car je fais partie de ce monde. Comment m’y inscrire en apportant mon âme et mes réflexions ?
Je reviens vers la croyance, croix et anse comme une anse au bord de la mer ou l’anse d’un panier…
Il y a quelque chose de rond, d’arrondi dans cette image, alors que la croix est droite et géométrique, apparemment paradoxe et contradiction.
Mais justement toute la question est d’accepter ce paradoxe, ce constat à la fois de dureté dans le monde et de douceur, de rondeur… C’est ainsi.
Il y a quelque chose d’abyssal. Dans abysse il y a un trou profond, un creux, un fond, on ne peut pas toujours le mesurer.
Dans la profondeur de l’être, dans la profondeur de l’âme qu’y trouve-t-on ?
Il y a l’âme noire, il y a l’âme blanche ou dorée, et entre les deux, entre le fond et la surface la vie qui grouille. Invisible à nos yeux sauf lorsque nous plongeons. Il faut oser aller dans les profondeurs, non pour y rester sans oxygène mais pour mieux remonter et prendre des décisions, faire des choix de vie ou de survie…
Besoin de douceur et de bienveillance envers soi même et autrui, c’est mon désir fort et grand.
Malgré et avec les avis de tempête tenir bon.
La bonté on n’en parle pas assez, c’est tellement facile de voir d’abord les catastrophes, moi j’ai envie de créer d’autres strophes. J’ai envie de clamer : ne baissons pas les bras, mais ouvrons les pour accueillir notre petit enfant à l’intérieur, celui qui a eu peur, celui qui a eu des frayeurs diurnes ou nocturnes, celui qui n’a pu tout comprendre ni tout appréhender… Oui, serrons ce petit là et envoyons lui tendresse et protection, un peu comme le petit de la crèche.
Je pense à toutes les mamans qui portent un enfant, celles qui ont donné naissance ou celles qui l’ont perdu ou n’ont pu donner la vie.
Un autre sens va jaillir, d’autres naissances, aussi spirituelles… Alors ouvrons nos cœurs et nos mains dans un accueil inconditionnel à ce qui est !
J’ai envie de dire que c’est le message de mon ange, il est venu me rendre visite pour me confier cette communication à partager.
Puissent tous les anges chanter et danser avec nous en ces fêtes, du haut de leur ciel, du haut de leur hauteur et de leur ferveur, on en a bien besoin particulièrement en ce moment !